Le conducteur Routier. (part 1)

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il y a 6 ans

Enfin une bonne nouvelle, mon usine va procéder à des licenciements économiques et je ne vais pas me faire prier pour partir.

Certes ça fait 8 ans que je travail dans cette entreprise, mais je reconnais ne pas me plaire dans ce job. C’est donc l’occasion rêvée de prendre un autre départ par le biais d’une reconversion professionnelle. Sans trop de difficultés, je passe mon permis poids lourds et à l’issue de ma formation, je me lance dans la recherche d’emploi.

Je note plusieurs offres d’emploi, prépare mes courriers et ne tarde pas à les envoyer ou même à appeler. Dans la plupart des retours, c’est un non par manque d’expérience, et parfois même, il n’y a pas de réponses. Je commence même à me demander si je vais réussir à trouver un poste car au bout de 3 semaines, c’est à chaque fois la même chose, pas d’expérience.

Ca fait maintenant 1 mois et demi que je suis à la recherche d’une place mais rien ne bouge, mais je garde encore espoir. Au bout de plusieurs mois, je suis quasiment en fin de droits, et l'inquiétude grandie. Quand, heureusement, je reçois 2 appels pour des postes bien différents.

Le premier concerne de la livraison type messagerie, au salaire moyen mais permettant de vivre décemment. Le second, concerne une tournée fixe avec des exigences spécifique et un très gros salaire. Ne réussissant pas à en savoir davantage au téléphone, c’est un entretien la semaine suivante qui va me permettre d’en savoir beaucoup plus sur ce poste. Du coup, je place le premier job en attente au risque de très certainement ne pas avoir la place.

Le rendez vous est fixé ce vendredi pour 9h30, mais à 9h15, je suis déjà sur place. Je dois passer un entretien avec un certain Yannick Le cloître, directeur des ressources humaines. Comme je le pensais, l’autre entreprise ne m’a pas attendu et je dois tout miser sur cette place. Je fais face a une jolie secrétaire.

« - Bonjour Madame, je suis Mr Berre et j’ai rendez-vous avec Mr Le Cloître.

  • Asseyez-vous la, on va venir vous chercher.

  • Merci »

La secrétaire quitte son poste, sans doute pour prévenir mon arrivée. Puis de retour à son poste, pas un mot, pas un regard, elle reprend son travail. Auprès 20 minutes d’attente, une très belle femme d’environ 1M65 vient me chercher.

« Mr Berre, suivez-moi »

Elle est vraiment magnifique, une brune coupe au carré, dans un superbe tailleur et perchée sur des petits talons. A vue d’œil, elle doit avoir la trentaine tout au plus. Elle me fait entrer dans un bureau ou je peux lire sur la porte « Yannick Le Cloître – direction des ressources humaines »

A son invitation, je m’assois et, alors que je pensais attendre encore, elle me fait face et se présente.

« - Bonjour, je suis Madame Le Cloître Yannick, la directrice des ressources humaines. Vous vous attendiez sans doute à faire face à un homme.

  • Heu oui, je dois reconnaître que oui.

  • Rassurez vous, vous n’êtes pas le premier. Bien. Je vous reçois dans le cadre de votre candidature pour le poste de conducteur pour la tournée que nous appelons la tournée spécifique. Avant de vous parler de cette tournée, je vais un peu détailler votre CV, votre parcours. Vous êtes Mr Berre François, célibataire et sans enfant. Vous n’avez jamais été marié ?

  • Heu, non.

  • Vous avez 31 ans et êtes sans emploi actuellement. Êtes-vous actuellement accompagné dans la vie ? Un ou une petite ami (e) ?

  • (Surpris d’une telle question) Heu non, ni l’un, ni l’autre.

  • Pardonnez moi cette question, mais nous sommes dans un métier source de très nombreux divorces ou de séparations, et le faite que vous soyez seul est pour moi un vrai plus dans une candidature.

  • Non, non, pas de compagne, je suis seul.

  • Pour votre parcours professionnel, vous sortez d’un plan social, vous êtes jeune permis poids lourd et donc sans expérience, Mais ce n’est pas un problème pour notre entreprise. je ne vais donc pas approfondir plus que ça votre CV. Je vais vous parler de ce poste spécifique. Cette tournée est un contrat très important entre notre entreprise et l’état. En effet, cette tournée assure la liaison entre 2 imprimeries nationales. Mais ce qui est spécifique, c’est le temps de conduite entre les 2 dépôts d’imprimerie. Pour aller, vous avez 4h15 à 4h20 de conduite et autant au retour. Vous pouvez donc facilement imaginer qu’il n’est pas possible d’envisager la moindre pause durant vos 2 périodes de conduite.

  • Excusez moi, mais pas même pour aller……uriner ?

  • Non, même pour Uriner. S’ils y a le moindre bouchon sur la route, vous serez vite a 4h30 de conduite et vous devrez observer une coupure qui allongera votre temps de parcours, donc les délais de livraison, donc votre amplitude et potentiellement créer une infraction à la législation.

  • Ah, heu, oui d’accord, mais comment faire ?

  • Je vais y venir. Quand vous partez d’ici, votre camion est déjà chargé. Un conducteur aura déjà fait un aller-retour à l’imprimerie juste a coté pour faire chargé le camion. Vous prenez le camion ici ou vous avez 4h15 voir 4h20 pour l’aller donc autant pour le retour. Soit, 8h30-8h40 de temps de conduite. Sur place, vous avez 1h durant laquelle, vous ferez votre coupure repas pendant que le camion sera déchargé puis chargé par des agents qui vous attendent. Compte tenu du chargement, vous n’aurez pas accès aux quais. Sur le retour, vous revenez au dépôt qui se trouve à 30 kilomètres d’ici pour faire vider votre camion. C’est là bas qu’un autre conducteur se rend le matin pour faire charger le camion. Puis une fois vide, vous rentrez ici. Votre journée sera déjà bien remplie par 9h00 à 9h30 de conduite et 10h30 d’amplitude. Vous comprenez bien qu’il n’y à pas la place pour la moindre pause de quelque nature que ce soit hormis lors de votre pause repas prévue dans les locaux de l’imprimerie.

  • Mais c’est impossible de tenir, comment voulez vous que…

  • Nous avons une solution. Il n’y à pas d’autres possibilités que de devoir porter des couches.

  • Je vous demande pardon?

  • Oui je sais de quoi ça a l’air, mais afin de vous épargner de vous retenir et de contracter des possibles infections urinaire et de conduire l’esprit embarrassé, on vous propose de porter des couches et ainsi vous pouvez éviter tout arrêt.

  • Mais c’est ridicule.

  • Il n’y a pas d’obligation bien sur, mais très honnêtement, avec le médecin du travail et un groupe de conducteurs chevronnés de l’entreprise, nous avons étudiés toutes les possibilités et à chaque fois, nous en sommes revenus au même point. Il n’est pas possible de faire le moindre arrêt. Donc, à moins d’être certain de tenir 5h00 à l’aller et 5h00 au retour et ce, tous les jours de la semaine, j’impose le port de couches pour cette tournée. C’est aussi la raison du salaire motivant et d’une prime de pénibilité exceptionnelle lié uniquement à cette tournée.

  • Oui, mais tout de même, porter des couches, ça n’a rien de professionnel.

  • Écoutez Mr Berre, le salaire pour cette tournée est de 2000€ net, ce que vous ne trouverez nulle part ailleurs pour une telle tournée et j’y ajoute une prime de 500 ou 1000€ par mois, selon votre décision.

  • Comment ça, selon ma décision ?

  • Pour cette tournée, le port de couches n’est pas une option, vous l’aurez comprit. Il sera clairement inscrit dans le contrat de travail. S’il est entendu que le conducteur qui fera cette tournée aura accepté de porter des couches et de signer ce contrat, votre décision porte sur qui vous mettra les couches. Si vous choisissez de les mettre tout seul, la prime sera de 500€. Si vous me laissez vous les mettre, alors la prime sera de 1000€ au titre de l’humiliation subie. Comme ça, je serais certaine que vous partez bien avec votre couche et qu’elle sera bien mise. Sachez que je privilégie cette deuxième option afin de me garantir que le conducteur soit bien protégé.

  • Ah car en plus, vous allez me les mettre ?

  • Avez-vous essayé de mettre une couche tout seul Mr Berre?

  • Non, je n’en ai pas l’utilité, donc non je n'en mets pas tout seul.

  • Croyez moi, afin d’assurer au maximum votre protection et ainsi éviter toutes fuites, le mieux est de me permettre de vous langer.

  • Ça donne l’impression d’être infantilisé.

  • Je sais de quoi ça a l’air Mr Berre. Maintenant, vous avez tous les éléments à votre connaissance. Souhaitez-vous prendre ce poste ?

  • Je ne sais pas. Cette histoire de couches me dérange beaucoup.

  • Souhaitez vous voir à quoi ça ressemble ? Comme ca, vous aurez tous les éléments pour réfléchir.

  • Bah,….je ne sais pas,….

  • (Elle se lève) suivez moi. (Elle ouvre une porte, autre que celle emprunté pour entrer) Je vous en prie. »

Cette pièce est totalement fermée. Pas une fenêtre, pas d’autres portes, comme s’il s’agissait d’un cagibi aménager. Une pièce d’environ 10 M2 ou se trouve plusieurs étagères toutes remplis de couches diverses. Au milieu de cette pièce, une table un brin particulière que Madame Le Cloître me confirme être une table à langer à taille adulte. Elle prend une couche qu’elle déplie et sans la moindre hésitation, elle me l’a montre.

« - Souhaitez-vous L’essayer ?

  • Pardon ?

  • Souhaitez essayer cette couche Mr Berre ?

  • Heu maintenant ?

  • Pour savoir ce que ça fait, le mieux est d’en essayer une, vous ne croyez pas ? Allongez-vous, je vais vous mettre cette couche.

  • Quoi, la, maintenant ?

  • Allez, je n’ai pas que ça à faire. Allongez vous que je vous mette cette couche. »

Devant cette autorité, je me laisse pose sur la table, puis elle commence mon écrémage. Mes chaussures, mon pantalon et enfin mon caleçon, elle poursuit sa quête. Je suis rouge de honte et rapidement, elle m’invite à lever mon bassin. Elle place cette couche et le renfort sous mes fesses puis elle ajuste son positionnement et enfin, elle plaque l’avant sur mon ventre. Elle ferme la couche à l’aide des adhésifs puis elle m’invite à me rhabiller. Elle m’a mit cette couche le plus naturellement possible et avec une étonnante habilité.

« - Pour être à l’aise dans vos couches, va falloir épiler votre pubis, ça sera plus hygiénique. Cette fois ci, je n’ai pas mis de talc ni de crème, mais à l’avenir, je vous en mettrais, ça vous évitera d’avoir des irritations.

  • Ah, heu,…oui »

Je ne sais quoi répondre. J’ai une immense honte de porter cette couche. Ça semble si épais que j’ai l’impression que tout le monde peu la voir. De retour dans son bureau, elle reprend l’entretien.

« - Bien, maintenant que vous portez une couche, vous pouvez me dire si vous envisagez de prendre ce poste.

  • Bah, ca ne fait que 5 minutes que je porte cette couche et c’est difficile de ce faire une idée en si peu de temps.

  • Je vous l'accorde, mais sachez que vous pouvez commencer dès ce lundi et que votre contrat, si vous l'acceptez est déjà prêt a être signé. Le voici. Je vous laisse le lire, mais ne soyez pas étonné d'y lire le paragraphe sur votre tenue professionnelle ou vous vous engagez à porter une couche quelque soit votre mission pour l'entreprise, que vous vous engagez a une hygiène intime parfaite afin de faciliter le change et ou je suis en charge de vous mettre vos couches et de vous changer en cas de besoins."

Je survole plus le contrat que je ne le lit vraiment. C'est plus fastidieux que vraiment intéressant tant il est épais et trop complet. Une fois fini ce "survole", elle me tend un stylo afin de signer. Je suis devant cet engagement mutuel mais pourtant, j'hésite. Je lève la tête et croise son regard envoutant. Ma situation bancaire et étant en fin de droits, je signe ce contrat. Le salaire est déterminant dans ma signature. Et en plus, je ne peux plus tenter le 2eme poste qui m’a échappé pour le coup.

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